Une Autre

Sujet: Une Autre Sam 24 Nov 2007 - 17:59

Anick : Non Mère, pourquoi devrais-je?

Mère : Parce que c’est de votre éducation qu’il est question.

Anick : Franchement, je trouve ignoble cette obligation.

Mère : Que voulez-vous à la fin?

Anick : Je veux une vie qui me ressemble, une vie où je peux parler comme je le sens, bref, je veux être libre, Mère. Libre de choisir mon mari, ma profession, etc.

Mère : Mais tu sais bien qu’avec le sang qui coule dans tes veines, cela t’est impossible.

Anick : Malheureusement oui, mais je n’ai pas dit mon dernier mot.

Mère : Donc tu iras à l’Académie?

Anick : Ai-je le choix?

Mère : À vrai dire, non? Je crois!

Anick : Merde…

Mère : ANICK!

Anick : Pardonnez-moi Mère!

Mère : Préparez vos choses, vous partez dans une semaine.

Anick : Merci…

Mère : Je vous laisse.

Et sa mère la laissa. On cogna à la grande porte de sa chambre.

Will : Damoiselle?

Anick : Oui, Will?

Will : Puis-je entrer débarrasser votre chambre?

Anick : Bien sûr! Entrez donc!

Et Will entra. C’était un serveur qui était responsable des appartements de la princesse. Il avait à peu près 35 ans alors que la princesse en avait 17. Bientôt, on célèbrerait ses 18 ans, au mois de novembre. Will s’occupait de celle-ci depuis son jeune âge; il était comme son deuxième père, car souvent le premier ne pouvait s’occuper d’elle.

Anick : Alors, quoi de nouveau dans le château?

Will : Ne me dîtes pas que vous êtes encore confiner au confort de votre chambre?

Anick : Bien joué, mon cher Watson. Mère ne comprend pas que ma vie, je la rêve, je ne la vie pas.

Will : C’est bien dommage, mais pour votre éducation, elle a en quelque sorte raison.

Anick : Vous écoutez aux portes!?!

Will : Désolé mais vous avez haussé le ton, je n’ai pu m’empêcher.

Anick : Qu’importe. Maintenant, je dois faire mes valises pour m’envoler vers Manchester.

Will : Pourtant, vous qui détester le château, prendre un peu de distance vous fera du bien.

Anick : Je ne déteste pas la place, je hais y être emprisonnée et à quoi bon partir pour être enfermer ailleurs, en?

Will : Vous marquez un point.

Anick, soupirant : Et moi qui ne sais quoi faire durant ma semaine…

Will : Vous lirez sûrement, vous connaissant.

Anick : Oui, vous êtes sûrement le seul ici qui me connaisse réellement.

Will : Même pas votre mère?

Anick : Ma mère me connaît, mais elle ne sait pas de quoi je rêve.

Will : C’est dommage.

Anick : Vous avez bien raison.

Will : J’ai fini de ramasser. Je vais vous laisser, damoiselle.

Anick : Vous savez bien que j’apprécie votre compagnie, ne vous pressez pas!

Will : Je sais bien, mais j’ai d’autre travail qui m’attend.

Anick : Alors je vous souhaite une belle journée, mon cher.

Will : Vous aussi princesse.

Et il partit. Anick se retrouva seul. Encore. Ça ne la dérangeait pas car elle était solitaire, mais entendre le verrou qui la retenait prisonnière. Elle se dirigea vers le feu qui brûlait et s’assit dans un de ses fauteuils que l’on voit seulement au palais. Elle se prit un livre et entama la lecture de celui-ci.

Sujet: Re: Une Autre Dim 25 Nov 2007 - 14:12

HuHuu Quel language sOutenuue

trOp fOrt !! viv'ment la sUiite =)

BiiSOUS

Elle était déjà arrivée. On aurait dit que la semaine qui lui restait à errer au château s’était passée à la vitesse de la lumière, trop vite. Par contre, pour combler son vide, elle reçue la visite de son cousin Fred, qui lui aussi allait à l’Académie. Il venait toujours passer quelques jours chez sa tante car son père, trop occupé, ne pouvait l’amener, donc il partait avec Anick. Il avait le même âge qu’elle, 17 ans, pour tout dire, les deux jeunes cousins étaient nés la même date et tellement ils se ressemblaient, tout le monde les croyaient jumeau. Ils se sentaient un peu comme cela car ils passaient tous leurs étés, leurs vacances de Noël ensembles. Ils avaient développé une très belle complicité.

Quand Anick débarqua de la Mercedes, 4 gendarmes se dirigèrent vers la valise afin de prendre les bagages de « Monsieur » et « Madame » qui n’étaient nul autre qu’elle et Fred. Elle n’aimait pas se sentir supérieur aux autres uniquement parce qu’elle était la princesse du trône d’Angleterre. À l’école, elle faisait le possible pour s’intégrer à la majorité, mais le monde la traitait toujours avec un air hautain, comme si elle avait choisi d’être qui elle était. Peu importe, Fred savait bien ce qu’elle ressentait, il y avait des filles qui ne pensaient qu’à leur titre, ça leur montait à la tête. Fred, malgré la grosse population de fille à l’école, ne s’était jamais trouvé de petite amie; il les trouvait toutes ou presque trop superficielles, en dessous de leur beauté, il n’y avait rien, qu’une comédie. Fred aussi aurait été vivre parmi le « peuple ». Des fois, lors des sorties permises à l’Académie les deux complices portaient du linge un peu plus commun au reste de la population et se glissaient avec elle. Jamais ils ne s’étaient fait prendre. En marchant le long du sinueux chemin, ils discutaient.

Fred : Dis, penses-tu qu’il y aura de nouveaux étudiants?

Anick : Ne serais-je pas ravie d’avoir à rencontrer des « Nouveaux Riches ». Ils ont la prétention pendu au nez ceux-là!

Fred : Ne dit pas des choses aussi horrible.

Anick : Tu penses vraiment que Yasmine et comment se nomme-t-elle l’autre…

Fred : Tu parles de la charmante Yulia?

Anick : Ouais, charmante, on pourrait dire ça, mais pour en revenir, celles-là, ne crois-tu pas que ce soient des filles d’honorables familles? Qu’elles bonnes familles apprendraient de telles manières à leurs enfants? C’est dégoutant.

Fred : Tu n’en mets pas un peu?

Anick : Absolument pas.

Fred : Bon et bien. Penses-tu avoir les mêmes appartements?

Anick : Surement, pourquoi mes parents me changeraient-ils de place? Ils n’arrêtent pas de me répéter que je suis leur élève la plus « précieuse », j’en ai que faire moi de cela! Mais bien sûr, l’Académie veut me garder aussi longtemps que possible, l’argent de mon père leur permet, j’en suis sûre, de ne pas chauffer au charbon.

Fred : Premièrement, il y a un règlement qui empêche les institutions scolaires qui gardent les étudiants durant l’année de chauffer au charbon et deuxièmement, ne sois pas si pessimiste.

Anick : Très bien, à partir de maintenant, je prendrai l’aire hautain que tout le monde veut que j’aie.

Fred : Hum...

Anick : Bon peut-être tout le monde moins une personne.

Fred : Toujours ton sens de l’exagération ! Toi, je t’adore.

Anick : On va dire…

Gendarme #1 : Monsieur, veuillez me suivre, votre chambre…

Anick : Ta chambre ? N’as-tu pas une suite ?

Fred : Non, j’ai falsifié les papiers, j’en avais mare d’être seul dans une suite ! Je vais avoir un « Nouveau Riche » comme tu le dis. Moi, je tente l’expérience, peut-être, qu’il sera bien.

Anick : Tu peux toujours croiser les doigts bien bien forts.

Gendarme #1 : Monsieur ?

Fred : Oui, j’arrive.

Il fit la bise à Anick et la laissa continuer le chemin avec les deux gendarmes qu’il lui restait. Elle marcha quelques temps et elle arriva au département où la plupart des filles dormaient. Il y avait un passage qui reliait l’école et le bâtiment par l’intérieur, mais les jardins étaient si jolis que les gendarmes avaient reçu comme instruction de faire passer les élèves par ceux-ci si le soleil faisait partit de la journée. Après de longs détours inutiles, qu’il lui faisait faire à tous les ans, elle finit par arriver devant la porte de sa suite habituelle. Ils lui ouvrirent les portes, déposèrent les bagages et quittèrent la pièce, toujours dans un silence de religieux, elle se déposa dans un de ses fauteuils.

Du côté de Fred, les choses se passèrent différemment. Ça ne lui prit pas 10 minutes qu’il était devant la fameuse chambre contre laquelle il avait échangé sa suite. Il ouvrit lui-même celle-ci et fut étonné de trouver un jeune garçon, qui devait bien avoir le même âge que lui, se préparer. Il inspecta l’endroit : deux lits qui semblaient douillets, deux armoires assez grandes, deux bureaux de bonne qualité avec tous les accessoires appropriés, de plus, deux tables de nuit étaient près des lits. Ça se résumait à cela, mais il devait avouer que la pièce était quand même assez grande. Il déposa ses choses sur le lit qu’il restait et se présenta.

Fred, en tendant une main : Bonjour, je suis Fred !

JH : Euh…je suis Daniel.

Fred : Tu te fais vraiment appeler comme ça ?

Daniel : Nah, euh, pardon, non.

Fred : Donc c’est quoi ton surnom ?

Daniel : Danny. Appelle-moi Danny. Pour tout te dire mon vrai nom, c’est Daniel Alan Jones.

Fred : Oh, un beau nom, pour rien te cacher, moi c’est Frederick John Hanger.

Danny : Hou, je suis tombé sur un « Vrai Riche » ! Le cousin de la princesse.

Fred : S’il te plait, pas de ça.

Danny : De quoi ?

Fred : De « Vrai Riche ». S’il te plait.

Danny : T’inquiète. Au fait, toi, ça ne te dérange pas que je partage ta chambre ?

Fred : À vrai dire, c’est moi qui partage ta chambre. J’avais une suite mais j’étais écœurer d’être seul donc j’ai changé les papiers.

Danny : Wow, tu as toute mon admiration. Moi qui pensais que vous étiez prétentieux.

Fred : Ne te détrompe pas, plusieurs personnes ici sont comme cela. Surtout les filles.

Danny : T'as une fille ?

Fred : Non, ce n’est pas l’endroit où l’on voit les meilleures filles. J’aime mieux celles de la rue.

Danny : Tu m’étonnes ! Je ne te le dirai jamais assez souvent. Tu te mêles souvent au « peuple » ?

Fred : Dès qu’on a l’occasion, moi et Anick, on se tire d’ici !

Danny : QUOI ! Tu veux dire que la princesse te suit !

Fred : Pour tout te dire, c’est moi qui la suis.

Danny : Elle doit avoir un sale caractère !

Fred : C’est toi qui parle ! Je te la présenterai au bal de ce soir.

Danny : Quoi ! On a un bal ?

Fred : Bien sûr, le bal de la rentrée. Tu t’es douché ?

Danny : Oui, je suis propre.

Fred : Alors sors ton smoking !

Danny : C’est un bal ou un souper?

Fred : Plutôt un souper mais pour que plus d’étudiant trouve cela « cool » ils le nomment le bal de la rentrée, mais habille-toi. On va être en retard si ça continue comme cela.

Danny : Je te considère comme un frère.

Fred : Merci, c’est gentil, mais bouge-toi, si tu ne veux pas te faire remarquer dès le premier jour et ne pas manquer ma cousine.

Danny : Oui, oui. J’y arrive.

Ils se préparèrent aussi vite qu’ils le purent et sans courir mais d’un pas rapide, tels des gentlemans, ils se dirigèrent vers le réfectoire.

hUHuu

Pour tout te dire mon vrai nom, c’est Daniel Alan Jones << HuUm Ca faiit tellement Classe =)

trop trop biien Ma KarychOu ! hihii*

J'veuux viite la sUiiite

Une suiite avant Noël ! J'essaie.

cOoll viiv'ment ^^ =)

J'aime bien ta fiction! =D
Viv'ment la suite =)

Anick était arrivée en avance devant les portes l'où on donnait le bal de la rentrée. Elle était tout à fait magnifique. Elle portait une jolie robe vert lime en satin qui mettait en valeur ses beaux yeux bleu-vert. Pour l'occassion, elle s'était frisée les cheveux et les laissait descendre dans son dos. Plusieurs jeunes femmes enviait sa beauté mais elle, elle ne l'aimait pas, c'était juste un regard de plus que les gens posait sur elle. Parfois, elle se méprisait. Bref, elle cherchait son cousin des yeux mais ne le trouvait point. Où était-il dont? Les portes s'ouvrirent tranquillement et l'on invita les élèves à se rendre aux tables. Anick se fit accompagner par un gendarme jusqu'à sa table et fut contente de constater que son cousin serait à sa table avec un jeune homme dont elle ignorait le nom. Elle s'instala et attendit patiemment. La majorité des élèves arrivèrent à l'heure indiquée sur l'invitation que chacun avait reçu mais elle ne voyait toujours pas sont cousin dans les parrages.

Quand le directeur s'apprêta à prendre parole devant l'assemblée, les portes, qui s'étaient refermée peu de temps auparavant, s'ouvrirent. Entre celles-ci, l'héritière du trône d'Angleterre apperçu Fred, évidemment, et un autre jeune homme auqel son regard s'attarda. Il était grand, brun, une coupe de cheveau à la dernière mode, un corps assez musclé, des yeux d'un bleu intense. Bref, c'était un homme magnifique. Fredérick prit la parole.

Fred: Pardonnez-nous, Monsieur le Principal. Cela ne se reproduira plus.

Principal: Je compte sur vous, Monsieur Hanger. Et sur vous aussi Monsieur Jones.

Danny: Oui, bien sûr, Monsieur.

Principal: Allez prendre siège maintenant, messieurs. À la table de Mademoiselle Deery.

Quand les deux adolescents se dirigèrent vers la table d'Anick, celle-ci découvrit enfin qui était le mystérieux compagnon de son très cher cousin.

Fred: Bonsoir, chère.

Anick: Te voilà enfin!

Fred: Et oui! Voici, Daniel Alan Jones, mais il se fait appeler Danny.

Anick: Enchantée de faire votre connaissance Monsieur Jones. Je suis...

Danny: Anick Mery Deery, princesse et héritière du trône d'Angleterre. Oui, je sais et j'en suis honoré.

Il prit sa main et la baisa avec respect. Anick resta stupéfaite par la réaction qu'avait eu ce Danny. Non pas qu'elle n'était pas habituée mais venant d'un « Nouveu Riche », c'était une preuve de grand respect, selon elle. Le principal fit son discour devant la marrée d'étudiants présents.

Principal: ... Tout cela pour vous souhaiter une merveilleuse année auprès de notre établissement scolaire et que le bal commence.

Anick: Il était temps qu'il finisse, celui-là.

Fred: Franchement, Anick, un peu de respect.

Anick: Tu sais pour qui j'en ai du respect, Fred?

Fred: Non, pour qui?

Anick: Pour ceux qui sont capable de voir au-delà des apparences.

Danny: Sur ce point, je vous accorde tout mon respect.

Anick: Si vous étiez en accord avec moi, cher, vous ne me vouvoyidriez pas. Saississez-vous le principe Monsieur?

Danny: Parfaitement, Anick.

Il soutenait son regard et cela rendit Anick un peu plus à l'aise avec lui. Il était différent des autres qui lui faisait la cour. Contrairement à la majorité du monde, il la respectait et n'essayait pas de se valoir auprès d'elle. Le reste du repas se déroula comme celui à toutes les années. Anick se fit invitée à danser par la plupart des garçons de son année. Vu son rang, elle ne pouvait refuser une danse. Elle valsa un long moment, un jeune homme l'arracha à un autre. C'était Danny. Jamais elle n'aurait cru cela de lui. Mais elle dansa quand même. Elle lui tapota l'épaule pour lui faire signe qu'elle ne résisterait plus à un autre tour de piste. Il quitta la piste et la menant du bras, très poliement.

Danny: Fatiguée de tourner.

Anick: À qui le dites-vous.

Ils s'intallèrent à leur table.

Danny: Alors, comment on vit, ici?

Anick: On est privilégié mais c'est emmerdant, dans la haute société.

Danny: Je comprend.

Anick: Ça, ça m'étonnerait.

Danny: Ne pas se fier aux apparences...

Anick: Oui, tu as raison. Désolé. Il se fait tard, je vais y aller, moi.

Danny: Me laisseriez-vous le plaisir de vous raccompagnez?

Anick: Mais avec plaisir, mon cher.

HiiHii c trOp la classe !!
viivm'men Une autre sUiiite ! Ouii Il faut ke j'mOcuupe maiintenan que c'est les vacances ^^

BiiisOus

ben fait ta fic dans ce cas là !

Sujet: Re: Une Autre Mar 8 Jan 2008 - 20:26

j'adore les fics qui sortents un peu du lots, genre princesse et etc.
Vive la suite

Sujet: Re: Une Autre Mer 16 Jan 2008 - 1:21

Anick et Danny marchèrent en silence dans les couloirs tordus de l'école. Une fois arriver devant la porte de la suite de la princesse, celle-ci l'invita à entrer et remarquant sont merveilleux sourire, Danny ne put qu'accepter. Une fois à l'intérieur, Danny fut impressionné par la richesse que ce décor lui inspirait.

Danny: Wow.

Anick: C'est ce que tout le monde dit. Moi, je trouve que c'est une belle prison.

Danny: Une prison, pourquoi donc?

Anick: Tu ne sais pas à quel point c'est difficile de venir ici. Ma mère m'y oblige et en plus, la fin de semaine, je reçois des cours privés ici pour ne pas perdre le fil de ma royauté.

Danny: Mais n'est-ce pas ce à quoi ta vie ressemblera? Tu es enviée et tu n'aimes pas ça.

Anick: As-tu déjà été envié à longueur de journée? Si oui, tu ne me dirais pas cela. C'est tellement difficile. C'est un fardeau que je dois porter seule. Je sais bien que c'est ma destiné, mais est-elle obligée d'être remplie d'embuches et surtout d'être vécu dans la solitude.

Danny: Mais n'as-tu pas ton cousin?

Anick: Oui, je l'ai, mais c'est le seul que j'ai. Je ne peux vraiment dire qui sont mes réels amis ici.

Danny: D'après moi, dans la vie nous n'avons qu'un ou deux véritables amis. Les autres ne sont que là pour nous guider dans notre quête spirituelle.

Anick: As-tu eu une éducation comme cela ou tu ne fais que citer?

Danny: Citer mon coeur est-il bon?

Anick: Vous m'impressionnez, mon cher.

Danny: Et vous, si je peux me le permettre, vous m'éblouissez grace à votre beauté.

Sincèrement, cela avait l'air vrai, mais la princesse ne se fit pas avoir par les belles paroles de ce chanteur de pomme. Ils parlèrent une bonne partie de la soirée. Il partit vers 23h30 et rejoins en silence sa chambre dans laquelle son nouvel ami dormait déjà. Il se coucha tranquillement en pensant à cette soirée. Ce qu'il était heureux d'avoir fait la connaissance de gens aussi prestigieux mais autant véridique, surtout Anick. Il ne savait que penser d'elle, mais chose certaine, elle lui plaisait, elle lui plaisait énormément. Il s'endormit sur cette réflexion.

Sujet: Re: Une Autre Mer 16 Jan 2008 - 13:18

oOh c magniifique !! tOute cet PhiilOsophiie : nous n'avons qu'un ou deux véritables amis. Les autres ne sont que là pour nous guider dans notre quête spirituelle.

Seriieu JadOore !!

T'es La plUs fOrte Ma Kary <3

Viivement la suiite

Désolé,
J'ai vraiment mais vraiment pu d'idée et je me souviens plus de l'histoire, donc je l'abandonne...
Sorry. Razz

LoL j'aii faiit pareiil avc la Miienne

loll ^^''